
nouvelle problématique de recherches qui lui per-
met de caractériser des occupations à l’Aurigna-
cien, au Magdalénien et à l’Azilien, ainsi que de
découvrir l’art pariétal de la grotte (Pinçon et Vir-
mont, 1987; Fritz et al, 1996).
De dimension moyenne, la grotte se compose
d’une grande salle s’ouvrant à l’extérieur par un
grand porche (6 m sur 10 m). Cette salle se pro-
longe au nord par une plus petite salle et des
entrées de galeries inférieures. Les parois gravées
se situent dans le secteur nord et sud de la grande
salle. Les ensembles graphiques se répartissent en
six panneaux distincts. Plusieurs représentations
d’animaux ont été recensées comme par exemple
la tête de bouquetin sur le premier panneau. Ces
représentations animalières sont associées à une
multitude de traits non guratifs. Le panneau 5
présente trois gurations animales importantes.
L’une d’elle est un cheval de style Magdalénien très
comparable à ceux peints et gravés à cette même
période dans les grottes de Niaux, Labastide, etc.
Le panneau 6 possède l’unique représentation
féminine connue de la grotte. Elle est semblable à
des gravures trouvées dans d’autres sites comme
celui de Lalinde (Dordogne).
Fig. 12: Gourdan. Gravure de figure féminine stylisée (Fritz
et al. 1996).
mindestens 14 Individuen, unter ihnen drei Kin-
der, wieder genutzt.
6. Die Höhle von Gourdan
Auch unter dem Namen Höhle der Elephanten
bekannt bendet sich die Höhle von Gourdan in
der Gemeinde Gourdan-Polignan, in den Vorber-
gen der Pyrenäen auf 470 m Höhe. 50 m oberhalb
der Garonne und der Neste öffnet sie sich durch
eine großräumige Vorhalle nach Westen und bietet
einen Blick auf die Pyrenäen.
1870 erwähnt E. Piette als erster diese Höhle
(Piette, 1887). Schon 1871 beschließt er, den Platz
auszugraben und wird dort viele Funde machen
(collection Piette, musée d’Archéologie nationale,
Saint-Germain-en-Laye). Erst 1951, nach einer
Zeit wissenschaftlicher Vernachlässigung und
Plünderungen, werden von L. Michaut neue Gra-
bungen organisiert, die 1965-66 von A. Cheynier
fortgeführt werden. Von 1985 bis 1989 entwickelt
J. Virmont ein neues Forschungsthema, das ihm
erlaubt, die Begehungen dem Aurignacien, Magda-
lénien und Azilien zuzuweisen, und die Wandkunst
der Höhle zu entdecken (Pinçon und Virmont,
1987; Fritz et al., 1996).
Abb. 12: Gourdan. Gravur einer stilisierten weiblichen Ge-
stalt (Fritz et al. 1996).
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